Anne-Emmanuelle Crétier signe dans la cour une installation poétique et musicale autour du paysage. Changer notre regard sur le vivant par l’écoute, en créant un dialogue entre le végétal et l’art de la scène. En complicité avec le musiniériste Jean Thoby, Anne‑Emmanuelle réveille le silence du paysage avec la création d’un jardin scénique. Le paysage est une métaphore et il s’amuse des arts vivants à son tour, ici par la musique des plantes, le lien entre l’humain et le non humain. La scénographie est ponctuée par les oeuvres de Florence Wuillai, Marlène Huissoud, Thomas Guillard et Gwenolé Le Gal.